Les pros du storytelling se sont probablement déjà frayé un chemin dans votre flux LinkedIn, en domptant les rouages de l’algorithme pour une durée indéterminée. En plus de sauter une ligne entre chaque phrase pour captiver l’attention des lecteurs en manque d’histoires « inspirantes », ils concluent souvent leurs publications par un post-scriptum bien senti.
Et comme la plupart des gens, ils ne sont pas foutus de l’écrire convenablement. Il faut dire que la typographie du post-scriptum ne va pas particulièrement à l’essentiel : P.-S..
Rien de plus facile pour sortir du lot que d’écrire correctement un post-scriptum. Les puristes de mon espèce apprécieront.
← Règles orthotypographiques et autres maniaqueries grammaticales