Comment travailler chez soi dans les meilleures conditions ?
Une maigre frange de la population a pu réfléchir à cette question depuis quelques décennies. Et depuis 2020, tout le monde a eu l’occasion de se la poser.
Étant adepte du télétravail depuis… que je travaille (début des années 2010), j’y ai moi-même beaucoup réfléchi. J’ai pu pratiquer et tester pas mal de choses. Depuis plusieurs années, j’avais déjà le luxe d’une pièce entièrement dévolue à mon travail — toujours plus facile quand on habite en province.
En 2020, j’ai déménagé en Auvergne. En me rapprochant des volcans, je me suis aussi éloigné du TGV. Et d’une certaine manière, ça a renforcé mon ADN de télétravailleur par défaut, juste avant qu’un certain COVID-19 ne banalise cette situation. Au moins pour les gens qui comme moi, travaillent dans le numérique.
Bureaulogie / Setup porn
Après quelques travaux, ce déménagement fut l’occasion de repenser mon environnement de travail (et accessoirement, de beaucoup progresser en cable management). Vu le temps que j’y passe, autant essayer de m’y sentir bien.
Après moult itérations, j’ai l’impression d’avoir trouvé un bon équilibre avec mon installation actuelle. Je me suis dit que j’allais donc faire un article pour partager tout ça. Visuellement, ça ressemble à ça :
Tant qu’à faire, je vais profiter de cet article pour détailler tous les éléments qui composent cette installation. C’est le genre de détails qui m’intéressent lorsque je scrute les espaces de travail de mes amis, collègues ou autres camarades numériques.
La simple observation de bureaux (différents du vôtre) peut donner de bonnes idées pour améliorer votre propre installation, sans forcément devenir un adepte de ce que j’appelle le setup porn. Chacun place son curseur de nerdyness où il le souhaite. En tout cas, si vous êtes toujours en quête d’inspiration dans la construction de votre espace de travail, je vous recommande la sympathique newsletter workspaces.xyz.
Et si la bureaulogie vous passionne autant que moi, vous connaissez sans doute déjà le tribunal des bureaux, dans lequel je suis prêt à comparaître. Si ça arrive un jour, j’ai hâte de voir si ackboo arrive à déceler des imperfections que je ne connais pas déjà.
Le matériel en détail
Date de la photo : janvier 2022.
Commentaire laconique.
1. Siège de bureau → Herman Miller Aeron (2013)
Le seul et l’unique. Le patron du jeu.
2. Bureau à hauteur réglable → IKEA BEKANT 160 × 80 cm (2015)
Il tient toujours bien le coup après trois déménagements. Je me sers énormément du filet central (sous la table elle-même) pour cacher tout un tas de câbles. Ça m’a même évité d’acheter ce genre de bacs.
Quant à la hauteur réglable, je ne l’apprécie pas tant pour travailler debout (ce qui m’arrive de temps en temps, mais pas si souvent que ça) que pour décider précisément de la hauteur que je veux pour mon plan de travail. Mon mètre quatre-vingt-douze est encore un peu traumatisé par la plupart des bureaux que j’ai pu rencontrer dans ma vie, qui m’arrivaient à peine au niveau des genoux.
En parlant de problèmes de grands, mon bureau est volontairement placé à distance du mur. Pas grand-chose (une quarantaine de centimètres), mais suffisamment pour que je puisse allonger mes jambes entièrement, ce qui ne serait pas possible si le bureau était collé au mur. Effet de bord sympa : ça m’évite d’avoir à déplacer mon bureau lorsque j’ai besoin de faire quelques ajustements de cable management.
3. Ordinateur → MacBook Pro 13″ 2020 (2020)
Il est important pour moi que le cœur de mon système soit facilement transportable. Bien que majoritairement sédentaire, je préfère donc les ordinateurs portables aux ordinateurs de bureau. Et dans mon installation habituelle, mon MacBook me sert aussi de quatrième écran. Au niveau de l’usage, il arrive même plutôt en deuxième position, du fait de sa position privilégiée dans mon champ de vision.
Dans des installations précédentes avec 2 écrans externes + celui du MacBook, ce dernier était positionné sur le côté, et j’utilisais un clavier externe pour écrire. Depuis que mon hub USB-C me permet d’exploiter un quatrième écran, j’utilise à nouveau le clavier de mon MacBook.
Même si j’ai perdu un pavé numérique dans l’affaire, j’ai maintenant un pavé tactile à disposition en plus de ma souris, ce qui s’avère parfois pratique (notamment pour scroller horizontalement). Et si jamais je m’apprête à faire une session intensive de saisie de chiffres dans un tableur, rien ne m’empêche d’attraper le clavier sans fil que j’utilisais précédemment.
4. Écran principal → Dell U4021QW (2021)
Mon gros craquage de 2021. Le premier moniteur « 5k2k » de plus de 38 pouces. Je l’adore. Ça faisait un moment que j’avais envie d’une plus grande résolution — me voilà maintenant paré pour au moins quelques années. Les 5120 × 2160 pixels sont un bonheur absolu à utiliser, je ne me sens plus jamais à l’étroit.
Au passage, son hub USB-C intégré a bien simplifié mon cable management. Tous ceux qui s’y sont déjà intéressés savent que les problématiques de hubs USB-C sont toujours un casse-tête.
5. Écran secondaire droit → LG 29EA93 (2014)
Le 21:9 (ou ultrawide) a toujours été une évidence pour moi, même quand ce format faisait ses premiers pas, au début des années 2010. Après 7 ans de bons et loyaux services en tant qu’écran principal, ce moniteur me permet maintenant de profiter de 2580 × 1080 pixels (ou plutôt 1080 × 2560, puisque je l’ai mis à la verticale) sur ce qu’il est devenu : un écran secondaire de luxe.
Le format vertical pour un 21:9, ça fait un peu bizarre au début. Mais à l’usage, c’est super pratique.
6. Écran secondaire gauche → Iiyama ProLite B2409HDS-B1 (2012)
Mon tout premier moniteur. Acheté en 2012, il fonctionne toujours parfaitement. Les 24 pouces me paraissaient énormes à l’époque. Sa reconversion en écran secondaire se passe très bien. Il me sert essentiellement à afficher mon calendrier (en permanence) ou du bordel (temporairement).
7. Dock USB-C → Dell Universal Dock D6000 (2020)
L’achat de mon Dell U4O21QW était parti pour rendre obsolète ce dock USB-C que j’utilisais auparavant, jusqu’à ce que je me rende compte qu’il me permettrait de connecter un troisième moniteur à mon MacBook, alors que sa carte graphique n’en autorise que deux.
L’astuce vient d’une légère surcouche logicielle qui vient avec ce dock, que je suis donc très content d’avoir gardé. En bonus, il me met à disposition quelques ports USB en façade.
8. Bras articulé pour mon écran de droite → Modèle sans nom de marque HUANUO (2021)
(Un peu planqué par mon micro sur la photo.) Au départ, j’avais acheté ce pied dans l’optique d’utiliser mon moniteur 29 pouces au-dessus de mon 40 pouces. Et pour faire ça, il fallait un bras capable de monter suffisamment haut, ce qui n’est pas si courant sur le marché. Ce modèle de chez HUANUO fait partie des rares élus.
Du reste, je me suis vite rendu compte que cette configuration n’était pas géniale. Je pense que la disposition avec un moniteur au-dessus de l’autre peut avoir du sens, mais pas quand celui du bas est déjà si grand.
J’ai donc gardé ce bras pour installer mon 29 pouces non plus au-dessus, mais à droite de mon écran principal, et au format vertical. Ça fonctionne beaucoup mieux.
Ce bras est capable de supporter 2 moniteurs (y compris de beaux bébés comme le numéro 5 de cet article), dans de multiples configurations. Je le recommande bien volontiers.
9. Bras articulé pour mon écran de gauche → Modèle sans nom de marque Amazon Basics (2020)
Sans doute un des meilleurs rapports qualité/prix de la jungle des bras articulés pour moniteur. Si vous n’avez jamais utilisé de bras articulé, c’est un excellent point d’entrée. Une fois que vous aurez goûté aux gains de place et à la flexibilité qu’ils procurent, vous aurez généralement du mal à revenir au pied standard de votre moniteur.
10. Réhausseur d’écran → Modèle sans nom de marque Amazon Basics (2015)
À l’origine, il me servait à surélever mon LG 29EA93, à l’époque où j’utilisais son pied. Il me sert maintenant à surélever mon écran central, pour être à la bonne hauteur par rapport à l’écran de mon MacBook. J’ai beau adorer le pied du U4021QW, il ne montait pas suffisamment haut pour arriver pile au-dessus du MacBook. En bonus, je peux ranger des trucs en dessous, sans qu’ils n’encombrent mon bureau.
11. Souris → Logitech MX Vertical (2020)
Plus important que le choix de son modèle de souris : savoir s’en servir correctement.
12. Tapis de bureau → Dotgrid Desk Mat (2022)
On peut voir ça comme un tapis de souris géant, un outil de prévention contre les trous des pulls au niveau des coudes, ou encore un moyen de cacher des documents papier (au lieu de les laisser encombrer votre bureau).
J’avais auparavant celui d’OrbitKey, dont la « barre d’outils » est super chouette. Malheureusement, elle ne convient pas à mon installation, puisqu’elle m’empêche de bien positionner mon MacBook. Après quelques essais infructueux, c’est finalement le modèle de Dotgrid qui me convient bien.
13. Casque sans fil à réduction de bruit → Bose 700 (2020)
L’indispensable du travailleur contemporain.
14. Support pour casque → Modèle sans nom de marque APPHOME (2017)
On ne le voit pas très bien sur la photo, mais c’est ce qui permet à mon casque de s’accrocher sous mon bureau. Super pratique.
15. Micro → Blue Yeti (2020)
N’étant pas spécialement compétent en la matière, j’ai suivi la recommandation habituelle avec ce grand classique des micros qui a pignon sur rue. Aucun regret pour l’instant.
16. Bonnette pour micro → Modèle sans nom de marque AOBETAK (2020)
Je trouve ça plus élégant qu’un filtre antipop, et j’ai cru comprendre que ça jouait le même rôle. Je veux bien qu’on me corrige si je dis des conneries.
17. Bras articulé pour micro → RØDE PSA1 (2020)
Le pied du Blue Yeti est sympa, mais un peu trop massif à mon goût. Les bras articulés pour micros apportent non seulement de la flexibilité spatiale, mais aussi un désencombrement de votre bureau. C’est toujours appréciable. Le PSA1 de chez RØDE a l’air aussi populaire parmi les perches que le Blue Yeti parmi les micros.
Je le déplie/replie à chaque fois que je commence/termine un appel ou une visio, et je n’ai aucun reproche à lui faire.
18. Enceintes 2.1 → Altec Lansing VS4121 (2006 !)
Increvables. Je les ai achetées peu de temps après mon baccalauréat. Voilà pour le coup de vieux.
19. Webcam → Logitech C920 HD Pro (2019)
Là non plus, je ne suis pas allé chercher bien loin. C’est le standard du marché. L’étape d’après serait d’utiliser un appareil photo en guise de caméra. La qualité d’image est alors sans commune mesure avec celle de n’importe quelle webcam, et vous fait immédiatement sortir du lot. Pour autant, ce serait un peu excessif compte tenu de mes besoins actuels en la matière.
20. Switch ethernet → TP-Link TL-SG1005D (2016)
Quand on a la possibilité de le faire, c’est toujours une bonne idée d’être branché en ethernet, plutôt que de compter sur le Wi-Fi. J’utilise ce switch pour relier mon bureau à ma box, puis y connecter mon MacBook (via mon écran), mon imprimante et mon Google Wi-Fi. Et comme TP-Link n’est pas une marque qui m’émoustille particulièrement, j’ai préféré recouvrir ce switch avec le sticker d’une petite PME du coin.
21. Boîte de rangement de câbles → Modèle sans nom de marque NTONPOWER (2020)
J’aime tellement cette boîte que j’en ai acheté deux autres pour mon salon — autre champ de mines potentiel au niveau des câbles et autres blocs d’alimentation. À ce stade, on pourrait presque considérer ce boîtier comme un pilier de mon cable management.
22. Boîte de rangement de câbles → Modèle sans nom de marque ACROPAQ (2022)
Même principe mais avec un modèle un poil plus compact, pour cacher une multiprise et quelques câbles que je ne voulais pas faire passer sous le bureau.
23. Imprimante → Brother DCP-9020CDW (2015)
L’occasion de rappeler que les imprimantes laser ont beau coûter cher, elles sont bien plus économiques que les jets d’encre. Même si, comme moi, vous imprimez très peu. Je me sers d’ailleurs plus souvent du scanner que de l’imprimante. Mais les rares fois où j’ai besoin d’imprimer, c’est généralement qu’il y a urgence, que je ne peux pas faire autrement. Et c’est justement dans ces moments-là que les problèmes sont les plus insupportables. J’ai juste besoin que ça marche, sans me préoccuper d’encre séchée ou d’un rechargement de cartouche qui empêche l’impression.
Dans ces moments-là, je sais que je peux compter sur mon imprimante laser de chez Brother, qui est sans doute un des meilleurs investissements de mon installation. Elle est banchée en ethernet pour que 100 % de mes scans arrivent dans ma Dropbox, sans risque d’échec dans la transmission des données.
24. Routeur Wi-Fi → Google Wifi (2018)
Dès qu’on commence à s’éloigner de sa box, le Wi-Fi donne rarement satisfaction. J’ai un Google Wi-Fi (ça s’appelle maintenant Nest Wifi) juste à gauche de mon imprimante. Ma box n’étant pas au même étage que mon bureau, ça me permet d’avoir une connexion stable partout dans la maison. Ce routeur m’a aussi changé la vie dans mes logements précédents.
25. Tapis de protection du sol → Modèle sans nom de marque Casa Pura (2021)
Dans mes logements précédents, je me suis rendu compte que l’usage intense d’une chaise de bureau n’était pas toujours une bonne nouvelle pour le sol, sous la chaise en question. J’essaie maintenant d’épargner celui-ci, grâce à un tapis de ce style.
Il m’a fallu plusieurs essais avant d’en trouver un qui fonctionne bien pour mon espace de travail. Il fallait notamment qu’il soit plus large que mon bureau, histoire que les pieds du BEKANT puissent l’empêcher de glisser. Tous les autres tapis que j’ai essayés précédemment ne tenaient pas bien en place.
26. Bandeau lumineux → Philips Hue Lightstrip (2020)
De quoi mettre un peu d’ambiance lumineuse dans la pièce. Ce bandeau est particulièrement adapté à la tranche de mon BEKANT, c’est parfait. Je peux même piloter les lumières avec Alfred. Que demander de plus ?
27. Lampe d’ambiance → Philips Hue Go (2020)
Je l’avais chopée en promo avec les Hue Play qui sont derrière mon téléviseur. Je l’ai posée au sommet du pied de mon U4021QW, ça passe nickel. L’éclairage est un peu plus consistant avec cette lampe d’appoint que si je me contentais du bandeau lumineux.
28. Organisateurs de câbles → Divers modèles de ce style (2020)
On ne le voit pas forcément très bien sur la photo, mais j’ai ici une arrivée de plusieurs câbles dont j’ai régulièrement besoin (USB-C, USB, Lightning…) pour recharger mon téléphone, ma montre, ma liseuse ou d’autres périphériques. Ou tout simplement pour connecter un truc à mon MacBook.
Cette arrivée de câbles est rendue possible grâce à ces machins (supports de câbles ? organisateurs ?) qui maintiennent et orientent les câbles exactement comme j’en ai envie. C’est bien pratique ; j’en ai à plein d’autres endroits de mon installation, notamment sous le bureau.
29. Gaines à spirales de rangement de câbles → Modèle sans nom de marque Amazon Commercial (2022)
Les gaines de ce style sont un outil de base pour toute personne qui souhaite se respecter réfléchir à son cable management. Ce modèle ne permet pas d’englober énormément de câbles, contrairement à celui qui suit.
30. Gaines souples de rangement de câbles → Modèle sans nom de marque AGPTEK (2022)
Si vous cherchiez un bon moyen d’éviter les horribles spaghettis de câbles tout autour de votre bureau, ce genre de serre-câbles est probablement ce qu’il vous faut.
Les petites choses qui changent tout
Il y a aussi divers trucs qui ne figurent pas sur la photo mais que j’aimerais tout de même mentionner, parce qu’ils m’ont bien changé la vie.
- Ce que les anglo-saxons appellent un file cabinet et qu’on peut traduire par « armoire à dossiers » ou encore caisson de rangement. J’utilise ce modèle, j’en suis très content. Il me permet de ranger et stocker efficacement toute la paperasse de ces divers organismes qui n’ont pas encore compris que le numérique était un truc sérieux. Son prix n’est pas très doux, mais je remercie cette armoire (et mes dossiers bien rangés) à chaque fois que j’ai besoin de mettre la main sur l’original d’un document. Restons tranquilles : ça ne vaudra jamais la recherche d’un PDF avec Alfred. Mais dans le monde physique, difficile de faire mieux.
- Des hubs USB. J’en ai quelques-uns dans ma besace, dont certains depuis belle lurette. Mon U4021QW fait maintenant une bonne partie du boulot, mais ce sont quand même ces hubs qui contribuent, dans l’ombre, à un cable management serein.
- Du scotch double-face 3M. Typiquement ce qui sert à coller les hubs USB ou autres multiprises sous mon bureau. Un indispensable pour faire disparaitre les câbles.
- De l’attache-câbles en scratch découpable. Ce truc, c’est vraiment le cheat code du cable management.
Voilà, je crois qu’on a fait le tour. J’ai maintenant une tonne de liens à ma disposition pour agrémenter de passionnantes conversations sur nos espaces de travail et leur évolution.
Dans un monde idéal, j’essaierai de tenir cet article à jour (comme tous les autres), surtout s’il y a de gros changements. J’ai l’impression d’être paré pour un bon moment avec cette installation, mais vivement que le Jonathan du futur rapplique pour me dire à quel point j’étais stupide de penser ça. Comme le moindre changement m’oblige à revoir toute ma gestion de câbles, c’est un bon filtre pour décider si chaque nouveauté en vaut vraiment la peine.
D’ici là, si vous avez des remarques ou des suggestions d’améliorations de mon installation, je les lirai avec grand plaisir ! N’hésitez pas non plus à me partager vos propres bureaux. Je suis toujours curieux de voir comment les autres réfléchissent à leurs espaces de travail. Et comme vous l’avez compris, l’importance de ce sujet est bien partie pour s’accentuer au fil du temps.
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🙏 Merci pour votre lecture
Je sais que votre attention a beaucoup de valeur, dans ce monde où ceux qui essaient de la capter sont de plus en plus nombreux. Votre temps, lui, n’est pas extensible, alors ça me touche d’autant plus.
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L’optimisation est un chemin sans fin. On trouve toujours des moyens pour être plus efficace. Si quelque chose ne vous semble pas optimal, expliquez-moi comment je pourrais m’améliorer. 💙
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